La COP29 à Bakou, censée répondre à l’urgence climatique, a vu 150 jets privés affluer en deux semaines, majoritairement liés aux entreprises pétrolières et à des gouvernements, selon une enquête de Reporterre et de Mémoire vive.
La COP29 s’est terminée par un accord dérisoire face à l’urgence climatique, mais aussi par un paradoxe embarrassant : l’aéroport de Bakou a accueilli deux fois plus de jets polluants qu’à l’accoutumée. Tel est le résultat de notre enquête, réalisée avec le (…)
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