Sanofi savait depuis de nombreuses années que l’usine Mourenx (Pyrénées-Atlantiques), dans laquelle il fabrique 80 % de la production mondiale de Dépakine (nom de marque du valproate de sodium), rejetait des substances toxiques au-delà des normes autorisées. C’est ce que révèle Libération dans un article du 15 septembre. Le média a pu consulter le dossier de l’enquête judiciaire actuellement menée par le pôle santé publique du tribunal de Paris.
Cette enquête concerne les rejets de deux substances qui (…)
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