Les signaux d’alarme se multiplient. Les particules de plastique s’accumulent dans l’air, le sol, l’eau. On les respire, on les ingère. On finit par les retrouver dans nos poumons, nos intestins, notre sang, nos nerfs, notre cerveau. Elles feraient peser de vrais risques sur la santé humaine. C’est l’un des constats du rapport publié par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst) le 14 novembre.
Les parlementaires ont auditionné une dizaine de (…)
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