Le sociologue Alain Caillé et le philosophe Patrick Viveret analysent les ressorts de l’enthousiasme, redoutablement contagieux, qui accompagne les Jeux olympiques de Paris — malgré l’impact écologique et social de l’événement.
« Les Jeux, je m’en fiche, en vrai ! » « Tu rigoles ? On a vu de la boxe, du tennis, du pentathlon… Je ne sais pas ce qu’il te faut ! » « C’est l’ambiance qui compte, l’exaltation, pas les sports ou les performances ! » Dans la file qui n’en finit pas de s’entortiller devant la fan zone de (…)
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Idée