Casey Camp-Horinek, élue autochtone étasunienne, dénonce l’industrie mortifère des hydrocarbures, et notamment les ravages de la fracturation hydraulique. À la COP29, face à l’immobilisme des politiques, elle prône la rébellion.
Bakou (Azerbaïdjan), reportage
Une étoile solitaire, dans un océan de conformisme. Là où partout se frôlent, se bousculent et serpentent des tailleurs sombres et des cravates impeccables, Casey Camp-Horinek, elle, semble défier le temps et les modes. Vêtue d’une (…)
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Climat : de COP en COP
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COP29